Qu’il s’agisse d’acheter un logement ou de vendre le leur, les Français sont de moins en moins nombreux à douter… Du côté des futurs acheteurs, selon une enquête de SeLoger, 24 % anticipent une amélioration de leur pouvoir d'achat dans les six prochains mois. À titre de comparaison, ils n’étaient que 11 % en avril 2020. Quant aux futurs vendeurs, ils sont 21 % à penser que leur pouvoir d'achat connaîtra une embellie dans les six prochains mois.
Vous cherchez à réaliser un projet immobilier ? Soyez confiant ; les ventes immobilières à Dolus d’Oléron n’ont donc aucune raison de s’effondrer ! Seul point noir : la ténuité des stocks de biens disponibles à la vente fait, qu’en dépit de la crise sanitaire, des confinements et des couvre-feux que nous avons connus au cours des derniers mois, les prix des logements n’en finissent pas d’augmenter.
La crainte d’une pénurie de logements se renforce
De l’avis même des professionnels de terrain, le marché de l’immobilier hexagonal est hypertendu dans bon nombre de territoires. En clair, dans certains secteurs, la demande est forte, les biens à vendre sont rares et personne ne négocie plus… Cet état de fait n’a évidemment pas échappé aux porteurs de projets immobiliers (achat, vente).
Les vendeurs ont la main (et ils le savent !)
Sur un marché pénurique où les biens sont aussi rares que la demande est forte, c’est peu dire que les vendeurs mènent la danse ! Avec parfois jusqu’à dix acheteurs en attente pour un seul bien à vendre, ils peuvent même se permettre de choisir le meilleur dossier parmi ceux des acheteurs qui convoitent leurs logements. D’après notre enquête, les propriétaires-vendeurs sont ainsi de plus en plus nombreux (52 % en mai 2021 vs 37 % en février 2021) à déclarer qu’ils ne baisseraient pas leur prix de vente si, dans les trois mois suivant la publication de l’annonce, leur logement n’avait toujours pas trouvé preneur.
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