Les Français ont-ils envie de se laisser séduire par l’immobilier sur l’Ile-d’Oléron ?

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Les Français ont-ils envie de se laisser séduire par l’immobilier sur l’Ile-d’Oléron ?

Un an après le début du 1er confinement, les Français ont-ils envie de se laisser séduire par l’immobilier sur l’Ile-d’Oléron ? Faisons le point avec une étude du courtier Artémis.

On ne pas se mentir : les Français sont un peu moins pessimistes sur la situation économique du pays, notamment grâce au début de la vaccination contre la Covid-19 et la fin d’un confinement strict, mais leur confiance reste tout de fois mesurée. 

Les profils les plus majoritairement optimistes demeurent les moins de 35 ans ! Toutefois, tout n’est pas noir : les Français continuent à se projeter dans leurs projets immobiliers. Globalement, la part des Français ayant fait ou faisant avancer leur projet immobilier depuis mai 2020 (date de fin du 1er confinement) est supérieure à celle des Français qui le reportent ou y renoncent.

  • Sans surprise, les plus optimistes sont les CSP+ (54%), les propriétaires (57%) et les Français de plus de 50 ans, des profils bien installés dans l’échelle de la propriété immobilière.
  • Près de 39% des Français estiment que les prix de l’immobilier baissent dans l’agglomération parisienne et dans les grandes métropoles (Lyon, Bordeaux, Marseille…) alors que dans l’état actuel, les prix continuent de grimper ou stagnent, notamment dû à la pénurie de logements.

« Les Français se révèlent d’une manière globale plus confiants qu’en novembre 2020. Cette perception un peu plus positive, en 5 mois, peut notamment s’expliquer par la fin du confinement strict et les perspectives ouvertes par le début de la vaccination contre la Covid-19. Par ailleurs, nous retenons que la part des Français ayant fait ou faisant avancer leur projet immobilier malgré la crise est supérieure à celle des Français qui le reportent ou y renoncent. Ces reports ou annulations sont principalement imputables à un attentisme prudent. L’aspiration à davantage d’espace intérieur et extérieur est réelle ; celle d’une vie à la campagne relève en revanche davantage d’un idéal que seules certaines catégories de la population – notamment les plus jeunes, les cadres et les Franciliens – envisagent réellement. Les Franciliens sont 16% à projeter l’achat d’une résidence secondaire », Ludovic Huzieux, co-fondateur d’Artémis courtage.

O.D. / MySweetProd © Adobe Stock